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Après une longue période douce et sèche qui avait fait fondre le peu de neige tombée en vallée, la semaine du 19 au 26 décembre a été particulièrement perturbée. Le climat spécifique du Briançonnais a apporté sa petite touche à ces épisodes météorologiques qui se sont succédé durant la semaine.

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Le réseau de détection sismique de l'observatoire de Grenoble (réseau Sismalp) a enregistré, le jeudi 19 décembre 2013 à 10 h 00 min (heure locale) un séisme de magnitude 2,7 dont l'épicentre était situé à l'est de la Roche-de-Rame et au nord-est de Saint-Crépin (région de Guillestre, Hautes-Alpes). Les coordonnées épicentrales sont 44° 45' N, 6° 39' E, à seulement quelques kilomètres de distance des épicentres des séismes survenus les 3 et 7 janvier 2013 (de magnitudes respectives 2,9 et 3,6). Le foyer était situé vers 4 km de profondeur.

Chaque année dans le grand quart sud-est de la France, neuf séismes en moyenne atteignent ou dépassent la magnitude 2,7. Ils surviennent en particulier sur ce qu'on appelle l'arc briançonnais. une zone de sismicité très marquée qui, du massif du Mercantour, traverse successivement la haute vallée de l'Ubaye, le Queyras, le Briançonnais et se termine dans le Val d'Aoste. Cet arc suit fidèlement le Chevauchement pennique frontal, discontinuité géologique majeure séparant les Alpes internes (à l'est) des Alpes externes (à l'ouest). Bien que cette région ait été longtemps soumise à de la compression lors de la surrection des Alpes, l'analyse du mécanisme au foyer du séisme de ce matin montre qu'il est dû à de l'extension selon un axe nord-est-sud-ouest. Ce phénomène caractérise l'ensemble de l'arc briançonnais : après avoir été soulevée pendant des dizaines de millions d'années, cette zone tectonique s'effondre maintenant sur elle-même. 

Mise à jour du 21 décembre :

Ça bouge beaucoup depuis jeudi en Ubaye (04), avec même deux tremblements de terre de magnitude 3,1 et 2,2 le 21 décembre à la Condamine et une dizaine de répliques.
La réplique du tremblement de terre de l'Argentière du jeudi 19 a été insignifiante (0,9 le 20 dans la nuit).

Sismalp

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Le CG05 a décidé la mise en place d’un Schéma départemental de développement touristique 2014-2020 en réaction à la baisse de fréquentation de 10% en 10 ans.
Il s’agit de remettre à plat la politique touristique du département autour de cinq grands axes consistant à :
- valoriser les grands sites ;
- structurer l’offre autour de filières identitaires ;
- augmenter l’offre auprès des pays étrangers ;
- monter en gamme et renforcer l’attractivité marketing ;
- créer une Agence départementale économique et touristique.
Des réunions de travail devraient se dérouler dans les différents territoires jusqu’en juin prochain, où se tiendront alors des Assises du tourisme, pour finaliser la nouvelle politique départementale.

Mais si « on ne peut pas parler de développement économique, sans parler de développement touristique », comme l’indique à juste titre Jean-Yves Dusserre, le président du CG05, puisque le tourisme représente directement et indirectement près de 80 % du PIB du département, il faut aussi considérer que cette dépendance est une véritable faiblesse : « le tourisme est aussi bien un facteur de développement qu’un facteur de fragilité. Il est temps de se pencher sur la diversification et penser économie au-delà du tourisme » interpelle Philippe Bourdeau, professeur à l’Institut de géographie alpine de Grenoble.

Ce projet aurait dû faire l’unanimité parmi les conseillers généraux, et pourtant il ne l’a pas faite. Peut-être parce qu’il ne se focalise que sur l’offre et sa commercialisation et qu’il n’aborde pas les faiblesses structurelles majeures du département, pour son attractivité touristique comme pour son développement économique en général : (i) son enclavement du fait de moyens de transports ferroviaires et routiers hérités respectivement des XIXe et XXe siècles - un sixième axe relatif aux infrastructures serait donc déterminant ; (ii) l'appropriation par les habitants et ses élus que leur département est dépendant du tourisme et qu'ils doivent donc se comporter en conséquence dans leurs différentes décisions et actions (par exemple, sur le dossier du loup, il faudrait se rappeler que les touristes qui visitent le département, aussi bien que les clients des agriculteurs, sont précisément les fameux écolos-bobos tant décriés).

Article de Alpes 1

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L'Office de tourisme de la Vallouise (Pelvoux, Vallouise, les Vigneaux) a dressé un bilan positif et encourageant pour l'avenir lors de sa première AG. Ses bénévoles se sont dépensés sans compter leur temps pour mettre une organisation solide en place avec un directeur récemment embauché et une équipe dynamique à l'accueil et à l'animation. Son projet d'animation hivernale a recueilli tous les suffrages.
En 2014, l'OTV veut mieux structurer l'offre touristique dans la vallée en coordination étroite avec ses homologues et avec Destination Écrins, représentée à l'AG par son président et sa toute nouvelle directrice.
Un grand projet d'animation estival à travers tout le Pays des Écrins est d'ores et déjà lancé qui devrait remettre en valeur sa culture haute montagne.

Article du Dauphiné

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L'inauguration et la mise en lumière de l'igloo a eu lieu le samedi 14, une semaine avant l'ouverture officielle le samedi 21 décembre 2013. La manifestation, destinée surtout aux habitants une semaine avant les vacances, a rassemblé quelques 300 personnes, dont beaucoup d'habitants venus en famille et les élus.

Durant tout l'hiver 2013-2014, la station de Pelvoux-Vallouise met le cap au nord. Installé au cœur de la station un igloo géant, sculpté en neige et en glace par l'artiste local Christian Burger, est le lieu central des animations de l'hiver. Ludique et pédagogique, le village Inuit et son igloo proposent un regard neuf sur le monde de la neige et de la glace, dans les Hautes-Alpes et dans le Grand Nord.

À noter, la quinzaine des films venus du froid du lundi 13 au dimanche 26 janvier, et les jeudis des concerts ou des conférences. De nombreuses autres animations sportives ou culturelles se dérouleront durant toute la saison.

L'intérieur de l'igloo offre une atmosphère féérique avec les sculptures de glace et de neige baignées d'une lumière magique.

Programme dans les OT et les commerces

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Les deuxième et troisième semaines de décembre ont été marquées par une douceur exceptionnelle avec de grands écarts de température entre le matin et l'après-midi, du type -8 °C le matin et +22 °C sous abri au soleil, entre l'ubac (et l'ombre) où la neige subsiste et l'adret asséché. Durant toute la période une inversion de température de grande ampleur, aussi bien diurne que nocturne, a favorisé les adrets d'altitude.

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L'Office de Promotion du Pays des Écrins change de nom. Son CA a opté pour Destination Écrins, beaucoup plus en phase avec la nouvelle dynamique en train de se créer autour du tourisme dans le pays.

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La station de Puy-Saint-Vincent renonce à organiser une coupe du monde de snowboardcross en 2014-2015 pour des raisons financières.

Article du Dauphiné

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Petit tour au Refuge des Bans pour retrouver la vie des gardiens, Alice Granet et Stéphane Jullien, dans un petit film de Vincent Verrier, pour l'exposition "Caractères d'altitude" au Musée Dauphinois de Grenoble à l'occasion des 40 ans du Parc national des Écrins.

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Tenue d’un nouvelle table ronde sur les orientations touristiques réunissant les élus (la Vallouise, l’Argentière, Freissinières), les acteurs touristiques et les OT. Ces derniers se sont structurés et commencent à lancer des projets intéressants qui permettent de créer des dynamiques locales, comme le projet Igloo Pelvoo qui dépasse déjà son objectif initial de « création d’une dynamique d’après-ski » (MF).

Le patrimoine a été reconnu comme un axe de développement qui dépasse les limites communales et qui est donc fédérateur au niveau de tout le pays. « La mise en tourisme du patrimoine » (OJ) est initiée avec la participation de plusieurs socioprofessionnels à la suite des journées de présentation qui ont eu lieu en juin et en novembre.

La création, souhaitée par beaucoup, d’un observatoire du tourisme a été annoncée avec deux axes de travail pour commencer dans les domaines du marketing et de la qualité.

La fréquentation des 2 semaines de vacances de la Toussaint a été encourageante et suscite déjà des idées de promotion, en profitant de la richesse de l’or des mélèzes (eh oui).

La station de Puy-Saint-Vincent a été très présente sur plusieurs salons notamment à Saint-Germain-des-Neiges et on pourra la voir dans Alpes Loisirs, TGV magazine et dans 30 spots de 8 secondes sur France télévision. Sa nouvelle piscine extérieure chauffée et un nouveau parking à 1400 seront les deux grandes nouveautés de la saison d’hiver. Elle a présenté sa candidature au label Famille Plus.

D’ores et déjà, l’OT de la Vallouise travaille sur son projet de l’été 2014 qui devrait intéresser les neuf communes du canton et qui devrait remettre en avant la haute montagne, dans ses différents aspects, mais pour l’instant, chut… !

Donc un bilan largement positif, en espérant que les communes absentes sauront prendre le train du dynamisme communautaire en marche.

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Le soleil prend vite la suite de l'épisode neigeux de ces derniers jours qui n'a déposé que 10 à 20 cm de neige en altitude. Mais le froid qui s'installe va la faire tenir dans une ambiance plus hivernale.

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Félicitations aux lauréats du concours des prairies fleuries en Vallouise, récompensés pour l'équilibre agro-écologique des parcelles qu'ils ont présentées au concours.
1er prix : Jean Baptiste Martin à Vallouise ;
2ème prix : Nathalie Alphand à Vallouise et Saint-Martin-de-Queyrières ;
3ème prix : Emmanuel Arduin à Freissinières et Villar-Saint-Pancrace.
Un prix spécial a été attribué à Romain Michel à Champcella pour la qualité mellifère de la parcelle qu'il avait présentée.

Jean-Baptiste Martin, en tant qu'éleveur, et son frère, en tant que maraîcher, sont de jeunes agriculteurs du Villard qui continuent l'activité de leurs parents.  JBM élève des brigasques, des brebis laitières originaires de la vallée de la Roya (06). Sa parcelle primée présente une diversité biologique remarquable avec pas moins de 65 espèces différentes. Il représentera le territoire du Parc national des Écrins au concours national en 2014.

A la suite du Concours prairies fleuries, le Parc national des Écrins et la Chambre d'Agriculture des Hautes-Alpes ont organisé une journée de formation sur le thème du sol et de l'agronomie.

Parc national des Écrins

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L'absence d'esprit communautaire à nouveau dénoncée au dernier conseil communautaire, cette fois par la représentante de Saint-Martin-de-Queyrières : « Aujourd’hui chaque commune reste de son côté et aucun projet global n’est pensé. »

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Il semblerait que l’Agence Régionale de Santé Provence-Alpes-Côte-d’Azur (ARS) infléchisse sa position concernant la fermeture du service de réanimation de l'hôpital de Briançon. Une nouvelle expertise va être lancée.

Il va quand même falloir penser à stabiliser la situation car les incertitudes sur l'avenir ne permettent pas de maintenir et encore moins d'attirer les médecins. Il n'y aurait rien de pire qu'un service administrativement maintenu et contraint de fermer faute de médecins !

Article de Alpes 1

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Article du Dauphiné

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L'OPPE (Office de promotion du Pays des Écrins) semble sortir la tête de l'eau avec un résultat financier 2013 en excédent de 50 k€, ce qui constitue « une première depuis la création de l'office en 2006 » selon son président, et avec un budget 2014 en augmentation de +5 %. Après une période sombre, la promotion du Pays va pouvoir être relancée.

Dans la foulée, une recommandation issue des tables rondes va se concrétiser avec la création d'un observatoire du tourisme qui permettra enfin de savoir de quoi on parle. Les choses se mettent donc enfin en place et un changement de nom de l'office est envisagé.

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Nordic en Vallouise, l'association gestionnaire du domaine de ski de fond dans la vallée sur les communes de Pelvoux, Vallouise et les Vigneaux, a fait le bilan de ses activités après un an d'existence et a présenté ses projets pour la saison qui va démarrer. Le moral est au beau fixe après une première année exceptionnelle avec 300 forfaits saison et 3 000 séances-journées vendus pour un CA de 45 000 €, en croissance de +80 % par rapport à la moyenne estimée des années précédentes, et 2 000 journées-enfants pour les scolaires, dont toutes les écoles du canton. Il faut dire que les pistes ont été ouvertes sur une période exceptionnellement longue, du 7 décembre 2012 au 31 mars 2013 (même si les deux dernières semaines de mars ont été très peu fréquentées).

Les nouveautés pour la nouvelle saison sont nombreuses : nouveau plan et nouvelle nomenclature des pistes, nouvelle signalétique sur les pistes (subventionnée par le CG05) ; à Pelvoux, nouvel accès débutant et piste pour chiens de traineaux ; dans le secteur de l'Onde, passage sous le Pont Gérendoine (plus besoin de déchausser) et nouvelle Passerelle des Iscles (offrant une version raccourcie de la boucle de l'Onde).

Des animations sont prévues toute la saison, dont du ski hockey et un challenge chrono tour. L'association se veut résolument comme un moyen de développement de la vallée et est révélatrice du nouveau dynamisme que l'on constate dans la vallée, au côté de l'Office de Tourisme. Mais la présidente a tenu à souligner les contraintes imposées par l'existence de trois communes et a lancé en souriant un appel à leur fusion.

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Le Comité de station de Puy-Saint-Vincent est devenu l'Office de Tourisme de Puy-Saint-Vincent. Ce changement permet au nouvel OT d'adhérer à Atout France, et ainsi de bénéficier de son réseau de communication, de promotion et de commercialisation (vente en ligne), comme tous les offices du tourisme. L'existence d'un OT classé est également un critère essentiel pour que la commune de Puy-Saint-Vincent puisse être classée commune touristique. L'OT garde sa structure associative.

Bienvenue et bonne chance à ce nouvel OT et à ses équipes en leur rappelant que le chantier en cours sur sa communication implique de répondre aux trois questions préalables concernant : (i) « l’image que Puy-Saint-Vincent veut donner, aux visiteurs, aux habitants et au personnel » ; (ii) « son identité qui à la fois la différencie des autres sites touristiques et fédère ses parties prenantes », en allant au-delà de la simple station de ski ; (iii) « son intégration dans la stratégie touristique globale du Pays des Écrins et de la Vallouise », pour une dynamique commune et des bénéfices réciproques.

Nouveau site internet de la station

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Le projet de redécoupage des cantons du département vise à un rééquilibrage des populations représentées. Il élimine en particulier la situation ubuesque d’un canton avec moins de 400 habitants et un autre avec près de 11 000 habitants.
Dans ce projet, le canton de l’Argentière-la-Bessée, qui recouvre la communauté de communes du Pays des Écrins, n’est pas modifié, mais d’un des cantons les plus peuplés, il devient le moins peuplé, et en plus il gagne un conseiller !

Le projet suscite bien sûr une levée de boucliers (non sans arrière-pensées électorales) car il ne fait pas dans la dentelle dans les regroupements, obligés par la contrainte d’un couple mixte de conseillers départementaux (c'est leur nouveau nom !).

Beaucoup des réactions surprennent car elles interrogent sur la nature même de la représentation des élus et sur leur finalité. Représentent-ils la population ou représentent-ils des territoires ? Il semble quand même qu’en démocratie, ils représentent le peuple qui les a élus et non un territoire. Qu’en démocratie, on fasse passer le territoire avant le peuple (du mot grec δημος), c’est un peu perdre ses bases.

Maintenant, pourquoi s’ajouter la contrainte de deux conseillers par canton ? Le maintien de 30 cantons, mais rééquilibrés aurait probablement été la plus simple des solutions, à défaut d'être la meilleure.

Une autre solution, plus élégante, et en phase avec les territoires, aurait pu être d’aligner les cantons sur les communautés de communes (ou métropole), avec un nombre de conseillers par canton dépendant de la population (au cas près de la communauté de communes de la Vallée de l’Oule à fusionner avec l’une de ses voisines).

Article de Alpes 1

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Durant l'été, résidents permanents et secondaires de Vallouise avaient été invités à répondre à un questionnaire préparatoire à l'établissement du P.A.D.D. (Plan d'Aménagement et de Développement Durable) dans le cadre de l'élaboration de son PLU (Plan Local d'Urbanisme). 177 personnes ont répondu, 68 résidents permanents et 109 résidents secondaires, dont les réponses sont très similaires. La synthèse en sera publiée dans le prochain bulletin municipal.

Les questions sur l'intercommunalité sont sans appel : d'une part, près de 89 % des répondants soutiennent une fusion des communes, dont 49 % pour une fusion des quatre communes de la Vallouise, 17 % une fusion avec seulement Pelvoux et 13 % une fusion avec Pelvoux et les Vigneaux ; d'autre part, 81 % souhaitent un renforcement de l'intercommunalité. La prochaine mandature devra impérativement secouer le cocotier sur ce sujet capital pour l'avenir du Pays des Écrins et de la Vallouise.

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Après quelques petites escarmouches sans suite, la neige a lancé une première offensive sérieuse en vallée. Une dizaine de centimètres, un peu plus en amont, ont recouvert la Vallouise. En altitude, la couche a été de l'ordre d'une trentaine de centimètres, elle s'est rajouté à une dizaine de centimètres tombés dans la semaine précédente. La température a bien fraîchi après un exceptionnel été indien, avec des températures faiblement négatives en matinée, mais plus douces en journée.

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Il est difficile de maintenir une activité commerciale dans les villages, mais les communes ne baissent pas les bras. Ainsi, à Saint-Martin-de-Queyrières, la commune recherche un couple souhaitant créer un commerce à définir dans le bâtiment de la Poste à Prelles qui deviendrait un relais poste commerçant. Également à la Roche-de-Rame, où l'épicerie du centre du village a rouvert une nouvelle fois.

Information du Dauphiné Libéré (9 novembre 2013)

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Panorama des Têtes

460 956 € de travaux d'assainissement ont été réalisés en 2013 dans le Pays des Écrins. Liste et coûts dans l'article ci-dessous.

Article du Dauphiné (8 novembre 2013)

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L'investissement réalisé il y a 18 mois dans une presse numérique laser a permis aux Éditions du Fournel de renouer avec la croissance : +18 % réalisée en 2012 et +10 % attendue cette année.

Article du Dauphiné Entreprises (5 novembre 2013)

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Puy-Saint-Vincent - Lendemain de mauvais temps...

Un marché couvert est en projet à Prelles à l'emplacement du garage Sam Dépanne qui avait brulé en février 2012 .1800 m2 de surface commerciale devraient être construits en deux tranches. La première de 1000 m2 sera consacrée à un supermarché de produits frais et locaux géré par une association de producteurs de Provence et du Piémont ; la seconde comprendra une dizaine d'emplacements d'environ 50 m2 loués à la journée ou au mois.

Souhaitons à la fois l'avancement rapide de ce projet et l'attention portée à l'esthétique du bâtiment et de ses abords. L'entrée dans le Pays des Écrins, où friches et chantiers aux finitions oubliées* dominent, mériterait une bien meilleure mise en valeur.

* Cf. les abords toujours inachevés autour du bâtiment du restaurant O Chal'heureux.

Information du Dauphiné Libéré (4 novembre 2013)

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La plaquette de l'hiver 2013-2014 est disponible dans les OT. On pourrait lui décerner un bon point si toutes les photos avaient été prises à Puy-Saint-Vincent. Malheureusement, ce n'est pas le cas et les Alpes du Nord avec leurs chalets de bois cossus et leurs épicéas sont en trop bonne place pour que ce ne soit pas un choix délibéré. Pourtant, le Pays des Écrins a tous les atouts paysagers nécessaires pour que l'on n'aille pas chercher chez les autres ce que l'on a ici.

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Le préfet Pierre Besnard ne loupe pas une occasion de rappeler qu'il faut en finir avec les querelles de vallées. Son message est clair : « Le problème est que chacun travaille de son côté et on a beaucoup de mal à fédérer. Il faut mettre fin à cette guerre des vallées ».

Article de Alpes 1

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Les deux guides briançonnais, Mathieu Détrie et Mathieu Maynadier de l'Argentière, et les guides Pierre Labbre et Jérome Para, ont atteint le sommet du Gaurishankar (7134 m). Ils réalisent ainsi une belle première dans la face sud, haute de 1900 m, du second plus haut sommet du Rolwaling Hima, à la frontière du Népal et du Tibet, à une centaine de kilomètres seulement de Katmandu. Ils ont coté ED cette voie nommée symboliquement Voyage au bout de la peine.

Le blog de l'expédition

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Le dernier conseil communautaire a été à nouveau plutôt consensuel sans sujet de friction : les subventions à l'ICE 2014 (25 k€), au projet Igloo-Pelvoo (24 k€) et à la Sky Race (15 k€), de même que les autres délibérations, ont été approuvées. Dont la délibération approuvant la convention entre la communauté de communes et la commune de Vallouise à propos de la Maison du tourisme et de la randonnée. Celle-ci prévoit que la commune de Vallouise s'engage à mettre à disposition de la communauté de communes des terrains lui appartenant (vers l'ancienne maison connue à Vallouise sous le nom de Chez Maman Camille) sur lesquels la communauté de communes s'engage à construire la Maison du tourisme et de la randonnée dans les cinq ans, donc d'ici fin 2018. La destination de celle-ci sera exclusivement l'hébergement des services administratifs de l'OPPE (Office de Promotion du Pays des Écrins) et de l'OTV (Office de Tourisme de la Vallouise). Donc pour résumer, Vallouise remet des terrains à la comcom, celle-ci construit le bâtiment, et ensuite rétrocède aux trois communes les locaux hébergeant leur OTV. Simple, non ?

Pourtant, en regardant plus loin que l'avancement heureux du projet, le montage est surtout révélateur d'une grande complexité et lourdeur...

La convention qui définit tout cela a dû donner lieu à de multiples réunions, discussions, disputes... Autant de pertes d'énergie, de temps et in fine d'argent qui illustrent la lourdeur du fonctionnement de l'intercommunalité. C'est un exemple, mais les neuf communes et la communauté de communes consacrent une énergie folle à définir et signer  entre elles des conventions de toutes sortes et à tous propos. Tout ne fonctionne que par une multitude de conventions et de multiples écritures croisées qui étouffent l'intercommunalité.

Quand on en est à ce stade, il est urgent de faire sauter tous les verrous qui s'opposent à la fusion des communes. À chaque conseil communautaire, on peut compter le nombre de sujets qui seraient simplifiés, voire disparaîtraient, s'il n'y avait plus qu'une seule commune. Dernier exemple lors du précédent conseil, les difficultés concernant les rythmes scolaires.

Utopique en l'état des mentalités ? Certes, quoique... En tout cas, il devient de plus en plus urgent de regarder plus loin que son pré-carré et de se préoccuper enfin de l'intérêt collectif de la communauté.

Si déjà, on pouvait s'engager sans tergiverser vers une commune unique en Vallouise...

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Changement de propriétaires en douceur à l'Hôtel Saint-Roch. Il vient d'être repris par le charmant couple qui a déjà lancé avec succès le Chalet AlpeLune. On souhaite le plein succès à Ilonka et Vincent Biermans (à gauche) et à leurs amis  Yvonne et Valentijn van der Valk (à droite), et une bonne retraite à Jean-Louis Giraud (au centre).

Cette reprise pérennise l'offre hôtelière à Puy-Saint-Vincent, ce qui est une excellente nouvelle, et... assure aussi de futurs élèves à l'école de la commune !

Ouverture le 01 décembre 2013.

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Le parking Saint-Roch est en voie d'achèvement. Il devrait être opérationnel pour la saison d'hiver.
NB : sur la photo, il ne s'agit pas d'une piscine gelée mais d'une couverture en goudron frais !

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C'était attendu : après le test concluant lors du dernier Critérium du Dauphiné, Risoul sera ville-étape d'arrivée lors du prochain Tour de France 2014. Les coureurs arriveront de Grenoble, le samedi 19 juillet, par les Cols du Lautaret et d'Izoard, gravi par son versant nord.

De quoi mettre du baume au cœur d'une commune chahutée par les défaillances de ses opérateurs immobilier et touristique.

Etape 14 - samedi 19 juillet 2014

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Selon le président du CRT Paca, Pierre Meffre, « aujourd'hui, huit touristes sur dix préparent leurs vacances dans notre région en faisant des recherches sur internet. Les professionnels, petits et grands, ne peuvent plus se désintéresser de tout ce qui se dit sur eux sur la toile ». Et d'enfoncer le clou, en ajoutant que ce sont les stations de ski dont la e.réputation est la plus mise à mal sur des sites comme booking.com ou tripadvisor (*).

Un petit tour sur ces sites pour les stations de la haute Durance  montre qu'effectivement à Puy-Saint-Vincent ça flingue beaucoup et que la e.réputation des résidences de tourisme en prend un sérieux coup à cause de leur état et de leur propreté, ou plutôt saleté. La cause en est mentionnée : « la résidence semble souffrir des réservations de grands groupes irrespectueux et ingérables par le personnel. » Mais a contrario les hôtels, gîtes et maisons d'hôtes sont en général mieux perçus, avec même le qualificatif de 'fabuleux' pour la Pierre d'Oran à l'Argentière et une excellente perception pour AlpeLune à Puy-Saint-Vincent. La e.réputation est plutôt bonne à Montgenèvre, y compris en résidences ; pas mauvaise à Vars et Serre Chevalier ; mais moins bonne à Risoul et aux Orres. Les hôtels et gîtes sont en général plus appréciés que les résidences de tourisme, avec la palme à l'hôtel la Balme à Saint-Chaffrey.

Il semblerait que, comme pour les domaines skiables gonflés par le marketing, le confort des résidences soit surcoté et que le nombre d'étoiles ne soit pas significatif. Les remarques négatives qui reviennent le plus souvent concernent la saleté, les dégradations, l'accueil. La qualité de certaines résidences de tourisme est en train de devenir une faiblesse aux Orres, à Puy-Saint-Vincent et à Risoul.

(*) Dauphiné Libéré, 09 octobre 2013, article : « Internet de plus en plus influent »

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L'association socioculturelle Bleu Citron lance un atelier de théâtre (tous les vendredis de 19 h 30 à 21 h 30, salle polyvalente de PSV 1400) avec comme concrétisation la présentation d'une pièce comique en fin d'année en juin 2014.

Association Bleu Citron, La Mairie - 05290 Puy-Saint-Vincent
Présidente : Chantal Galtié - Tél. 04.92.23.51.38
Ses buts sont de créer, d'une part, des activités hebdomadaires pour enfants, ados, adultes, et d'autre part, des activités ponctuelles, 2 à 3 fois par an : bal, cabaret, exposition…

Parmi les activités hebdomadaires, atelier initiation et découverte du cirque pour les scolaires avec l'école de cirque du Guil et de la Durance CirkAir.

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Le hameau de Pallon vient de faire l'objet d'un réaménagement, avec de nouvelles places de parking et d'autres encore à venir, et d'un embellissement avec la réalisation d'une peinture murale* de 18 mètres de long, sur un des murs de parking. Elle est l'œuvre de Jérôme Bonniot, dit RΩm.G, un artiste graffeur habitant le hameau.

*Étant puriste, je préfère éviter le terme de fresque dont la technique de réalisation est très différente.

Par ailleurs, le pont de Pallon est en cours de réfection. Il est fermé jusqu'au 19 novembre 2013, ce qui impose de passer par Champcella pour rejoindre Freissinières.

Montage photographique Vallouimages

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Le SIVU Pelvoux-Vallouise a délégué l'exploitation de la station à la société Alpes Ski Développement (ASD) dans le cadre d'une délégation de service public (DSP) de trois ans à compter du 1er octobre 2013. Cette société, basée à Neffes (05), assure déjà l'exploitation de la station de Ceüse. Elle a été créée en octobre 2011 avec un capital de 35 k€. Ses derniers comptes publiés (2012) font état d'une grande fragilité financière, mais l'exercice clos (2013) a dû lui permettre de redresser la situation.

Le SIVU garde la maîtrise des investissements et conduit durant le mois d'octobre des travaux de remises en état et en conformité du téléski de la Crête.

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La société Pelval, qui assurait l'exploitation de la station de Pelvoux-Vallouise a été mise en liquidation judiciaire à la date du 10 octobre 2013.

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Le réseau de surveillance sismique des Alpes occidentales (Sismalp) a détecté le mardi 15 octobre 2013 à 4 h 47 min (heure légale) un séisme de magnitude 3,8 dont l'épicentre était situé à Dronero, dans le Val Maïra (à l'WNW de Coni, Italie). Le foyer était situé à faible profondeur (entre 3 et 12 km).

C'est le plus important séisme qui se soit produit dans les Alpes franco-italiennes depuis le séisme de la Haute-Ubaye (Alpes-de-Haute-Provence) survenu le 26 février 2012 (magnitude 4,3) qui avait fait localement quelques légers dégâts immobiliers. Statistiquement, seul un séisme par an atteint ou dépasse la magnitude 3,5 dans le grand quart Sud-Est de la France et ses régions limitrophes. Pour les 10 premiers mois de 2013, on en recense déjà quatre : La Roche-de-Rame (Hautes-Alpes) le 7 janvier (M=3,6), Lanzo-Torinese (Turin, Italie) le 25 février (M=3,5), Boves (Coni, Italie) le 7 avril (M=3,6) et Dronero (Coni, Italie) le 15 octobre (M=3,8).

Un mécanisme au foyer préliminaire indique un état de contrainte compressif selon un axe orienté NE-SW.

L'épicentre est situé sur l'arc piémontais qui borde l'effondrement de la Plaine du Pô et qui est la zone sismique la plus active des Alpes franco-italiennes, avec une sismicité continue et très régulière produisant des séismes habituellement de magnitude inférieure à 2 ou 3. Il est possible que le séisme de cette nuit, avec un foyer situé à quelques kilomètres de profondeur sous une localité, ait provoqué de légers dégâts dans la zone épicentrale située en Italie. Côté français, il a probablement été ressenti dans les Alpes-Maritimes et l'est des Alpes-de-Haute-Provence.

Communiqué du Sismalp

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La nouvelle charte du Parc national des Écrins a été officiellement signée à Vallouise par les représentants des 46 communes adhérentes à l'occasion de la célébration du 40e anniversaire du Parc et de l'inauguration des travaux de requalification de la Maison du Parc, en présence du préfet des Hautes-Alpes Pierre Besnard, du sous-préfet Dominique Schuffenecker, du président du Parc Christian Pichoud, des précédents présidents Robert De Caumont et Patrick Ollier (Paul Dijoud n'ayant pu se joindre à la cérémonie),de son directeur Bertrand Galtier et de l'ancien Directeur Michel Sommier,  du député Joël Giraud, le président des élus des communes adhérentes Bernard Héritier, Marie Bouchez, Conseillère Régionale, Pierre Denis le conseil général du canton, Victor Bérenguel vice-président du CG05, chargé de l'Agenda 21, du Plan climat énergie, de l'Environnement et des Grands évènements.

Le 40e anniversaire du Parc national des Écrins, créé par décret le 27 mars 1973, marque donc la naissance d'un nouveau parc constitué de 46 communes des Hautes-Alpes et de l'Isère issues des 59 qui constituaient l'aire optimale d'adhésion.

La charte constitue un projet de territoire pour ces communes dans une double approche de protection et de valorisation des patrimoines naturel, culturel et paysager. Elle résulte d'une large concertation qui s'est conclue par la confiance des élus représentant 82 % de la population de l'aire optimale (et initiale) d'adhésion.  

Des opposants au projet de lignes aériennes THT dans la vallée de la Durance ont fait entendre leurs voix jusqu'au début des discours.

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