Saluons également l'ouverture du restaurant « l'Écrin de Suzette », qui prend la suite du restaurant « Poivre et Sel » à Vallouise.

L'Ecrin de Suzette propose de redécouvrir à sa sauce et sans chichis, les grands classiques et incontournables, de la cuisine populaire de nos régions d'ici et d'ailleurs.

Ouvert 7 jours sur 7 pendant les vacances scolaires, midi et soir. En hors saison, du mercredi midi au Dimanche midi. Brunch le Dimanche midi.

On lui souhaite également le succès. De toute façon on va vite tester !

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Une boulangerie-pâtisserie, au nom très local, « le Rocher Baron », vient d'ouvrir à la place de l'ancienne poste à Prelles. Elle est tenue en gérance par Éric Weber que l'on avait connu à la Vachette. On lui souhaite la réussite, en espérant que les locaux apprécieront et qu'il bénéficiera des gens de passage.

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La phrase du jour – Éric Gorde, président de la Chambre de commerce et d’industrie des Hautes-Alpes* : « Il ne faut plus parler d’enclavement. On veut que le territoire soit attractif, et le réseau de transport est suffisant pour cela. »
* Le Dauphiné Libéré, édition Hautes-Alpes & Alpes de Haute Provence, 1er décembre 2017.  

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Un curieux nuage, photographié ici depuis L’Argentière, a suscité des interrogations jeudi 19 octobre. Le Dauphiné Libéré dans son édition de samedi s’est livré à un curieux exercice de style pour minimiser la chose mais on comprend bien qu’il s’agissait d’un nuage de pollution. Eh oui, la lombarde* soufflait fort jeudi et a transporté un peu de nebbia* piémontaise chargée de particules polluantes et d’ozone.

Photo M.-L. Marfoure, 19 octobre 2017

On sait que le Briançonnais peut malheureusement être atteint, en cas de lombarde, par la pollution que nos amis turinois subissent, et que cela ne va pas aller en s’arrangeant. D’ailleurs le phénomène a été qualifié de « banal » dans l’article.

La situation était critique dans la région de Turin et on ne va pas nous faire le coup du filtrage de la pollution au Col de Montgenèvre (article de La Repubblica).

* La lombarde désigne le vent d’est soufflant du Piémont.
* La nebbia désigne le brouillard en italien.

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Les résultats de la campagne de mesures viennent d'être communiqués : la Barre des Écrins culmine à 4101,17 m, contre 4102 m sur la carte IGN ; le Dôme de Neige à 4009,30 m ; le Pic Lory à 4086,87 m.

On arrondira à : 4101 m pour la Barre des Écrins ; 4009 m pour le Dôme de Neige ; 4087 m pour le Pic Lory.

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On se rappelle la mesure récente de l’altitude du Mont Blanc et les tentatives de mesure des altitudes des trois sommets des Écrins (Barre des Écrins, Pic Lory et Dôme de Neige des Écrins, ou bientôt Pic des Écrins), dont la dernière le 23 août. La nouvelle altitude du Mont Blanc a été communiquée dans la foulée : la même qu’il y a deux ans à un centimètre près mais pour un point variable dans l’espace. Toujours rien pour les Écrins. Les géomètres des Écrins ont dû se faire chambrer mais heureusement on apprend que les altitudes des trois sommets des Écrins ont bien été mesurées avec succès et que les résultats seront communiqués en octobre après validation par l’IGN.

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Depuis 18 ans, tous les deux ans, la chambre départementale des géomètres experts de Haute-Savoie organise ces relevés du Toit de l'Europe, pour promouvoir ce métier peu connu et mettre à disposition les données collectées.

L'opération vient d'être réalisée et la nouvelle altitude est de 4808,72 m, contre 4808,73 m en septembre 2015. Un centimètre d’écart, autant dire que l’altitude n’a pas varié.

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Sur cette photo du Dôme le véritable sommet, comprendre le point le plus élevé, est le sommet neigeux. C’est l’approche actuelle des cartographes et des touristes, tout heureux de faire un 4000. L’approche des géomètres-experts qui ont entrepris de mesurer les altitudes respectives des trois sommets des Écrins consiste à abandonner le sommet réel au profit du pic rocheux en-dessous. ...

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La troisième campagne de mesures en 4 ans des altitudes respectives de la Barre, du Dôme et du Pic Lory a un peu tourné court, car les conditions météo des jours précédents ont joué un mauvais tour à la vingtaine de géomètres-experts. Trop de neige, il n'était plus envisageable d'aller à la Barre. Ils ne sont pas redescendus complètement bredouilles car, si les altitudes de la Barre et du Pic Lory n’ont pas pu être mesurées, celle du Dôme a pu l’être. Une autre expédition plus discrète est prévue d’ici la fin du mois.

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L'accumulation hivernale est normale : 149 cm d'équivalence en eau pour 152 en moyenne, grâce aux chutes de neige d'automne et de printemps. Par contre, la dernière semaine de mai a été marquée par un fort réchauffement en altitude qui a commencé à attaquer sérieusement le manteau neigeux. Par exemple, il est passé de 2,20 m à moins de 1,40 m à la balise nivose des Écrins à 3000 m d'altitude en 15 jours, soit une perte de plus de 30 %.

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Grosse chaleur depuis quelques jours avec des températures moyennes supérieures de 4 à 5°C aux normales saisonnières et des températures minimales assez exceptionnelles, de l'ordre de 15 à 16°C. La chaleur provoque la fonte rapide des neiges et le gonflement des torrents. En altitude, les ponts de neige commencent à se fragiliser.

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Vallouise-Pelvoux - La Blanche, Mont Pelvoux, vallon d'Ailefroide

Photo Vallouimages - 5 mai 2017

Contrairement aux résultats nationaux Jean-Luc Mélanchon (JLM) l'emporte dans tous les cantons de la haute Durance, sauf un, et parfois de façon très nette, comme dans le canton de L'Argentière-la-Bessée (27,36 %). Le seul canton où il ne l’emporte pas est celui de Briançon-1, qui inclut la vallée de la Guisane et la haute Romanche, qui a porté François Fillon (FF) en tête. Emmanuel Macron (EM) est en général bon deuxième, sauf dans le canton de Guillestre où FF, bien que battu dans la vallée de la Durance, résiste bien grâce aux Queyrassins.

JLM domine dans tout l’axe durancien d’Embrun à Val-des-Prés. Toutefois, Marine Le Pen (MLP) le devance à Villar-Saint-Pancrace, Saint-Crépin, Crots et Freissinières où elle arrive première. FF est en général distancé sauf dans les communes stations de ski, notamment dans la vallée de la Guisane.

L'analyse détaillée fait ressortir l'impact de la ligne THT et la singularité des communes-stations.

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L'ambassadrice du Népal a été reçue à Vallouise par les élus. Ella a eu droit à une visite commentée par Lionel de sa brasserie.

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Après l’échec du projet de commercialisation de l’eau de Vallouise, la communauté de communes a voulu rebondir en lançant un nouveau projet de développement économique. Puisque l’eau n’a pas marché, faute d’investisseurs et d’industriels intéressés, eh bien, le conseil communautaire, emmené par son président convaincu par les médailles décernées viticulteurs haut-alpins au Salon de l’agriculture, a décidé de se tourner vers la production de vins. Pour justifier le projet, il s’appuie sur l’ancienne tradition viticole locale que les noms des Vigneaux ou de la Vignette rappellent et sur le réchauffement climatique plus favorable à la culture de la vigne en altitude. Plutôt que de démarrer un projet de grande ampleur où certains rêvaient déjà d’une appellation « Pays des Écrins » avec neuf crus, un par commune (pardon, huit…), les élus  ont sagement préféré commencer ‘petit’ avec une première plantation-test sur les pentes bien exposées et pas trop en altitude de la commune de La Roche-de-Rame, qui étaient entièrement en vignes autrefois, faut-il le rappeler.  Néanmoins, on peut espérer un développement rapide et on se plaît à rêver de belles vignes sur les meilleurs coteaux envahis aujourd’hui par les arbustes.

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Les bonnes adresses de Vallouimages montent régulièrement dans les classements. Au tour du restaurant Au plaisir ambré​ d'obtenir un Bib gourmand au Michelin. Félicitations à Michael, en cuisine, et à Nancy, à l'accueil, et... à bientôt.

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Contrairement à fin novembre, les Alpes du Sud n'ont pas été gâtées lors de l'épisode neigeux des 12, 13 et 14 janvier. Il a peu à très peu neigé sur les Hautes-Alpes.

L'enneigement naturel n'a donc pas beaucoup varié. Juste des sols blanchis vers 800/1200 m, mais l'ambiance est devenue hivernale de partout. Vers 1500 m, l'enneigement est toujours très faible (Dévoluy, Champsaur) à faible (Pelvoux, Thabor, Champsaur, Embrunais) d'ouest en est. Par contre, au-dessus de 2200/2400 m, il est resté bon (Champsaur) à très bon (Pelvoux, Thabor, Queyras) (2).

Du côté des stations de ski, on est néanmoins soulagé car le froid a permis la production de neige artificielle.

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On peut appréhender la création de cette nouvelle commune différemment selon le point de vue :

(i) On peut y voir le verre à moitié vide et marquer sa déception face à une fusion limitée à deux communes et face à la façon dont elle a été conduite.

(ii) Heureusement, on peut aussi y voir le verre à moitié plein. D’abord en regardant ce qu’il se passe dans les communes environnantes.

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La population municipale du canton a progressé de +45 habitants à 6672 habitants, soit une croissance de +0,68% en un an. C’est un peu plus que le département qui progresse de +0,43%. Dans le détail, toutes les communes voient leur population s’étoffer à l’exception notable de La Roche-de-Rame qui chute de -1,17%.

La commune nouvelle de Vallouise-Pelvoux passe à 1235 habitants soit +5 habitants (+0,41%) que le total des deux anciennes communes.

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Au 1er janvier 2017, les communes de Vallouise et de Pelvoux n’en feront plus qu’une seule avec la création de la commune nouvelle Vallouise-Pelvoux. Les deux anciennes communes resteront des communes déléguées jusqu’aux prochaines élections municipales. Entre temps, les deux conseils municipaux se regrouperont et constitueront le conseil de la nouvelle commune qui élira son maire le samedi 7 janvier 2017. La mairie de la nouvelle commune sera au hameau de Saint-Antoine, dans la mairie actuelle de Pelvoux.

C’est une grande satisfaction. Certes, il aurait été préférable de fusionner à trois ou à quatre mais pour cela il fallait une volonté qui manquait encore aux Vigneaux et à Puy-Saint-Vincent.

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