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Quelques bonnes lectures et surtout deux livres de référence sur le premier art roman et l’église de Vallouise. Si après, certains parlent encore d’un « art roman-lombard » ou « d’arcatures lombardes » en Briançonnais, ils s’exposent à de lourdes représailles. Non mais !

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La solidarité n'est pas un vain mot entre la Vallouise et la haute Romanche. En exemple concret, Lenka et Laurent ont permis à la miellerie du Lautaret de continuer son activité commerciale en lui permettant de vendre ses produits à côté du Chalet - refuge du Pré de Madame Carle.

Pour Jérôme Fouvet qui tient le stand, l'explication est simple : « plus aucune voiture ne passe, c’était ça ou arrêter. » Le miel est produit au Col du Lautaret où les abeilles profitent de la grande richesse florale des prairies.

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La borne de péage est en place et le parking est payante à compter du 22 juin. Forfait de 2 € pour 48 heures. Gratuit pour une durée inférieure à 1 h 30.

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La survie de la langue glaciaire du Glacier Blanc est clairement en danger. La bande de glace qui en assure la continuité est de plus en plus réduite, tant en largeur qu’en épaisseur, et un trou commence à apparaitre. Devons-nous souhaiter un été pourri pour un ultime sursis avant sa rupture ?
Déjà tout ce qui s’est effondré l’été dernier n’est quasiment plus alimenté. Le front actuel se situe derrière la croupe rocheuse vers la flèche noire.

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Selon Marc Ventre, président du CA d’Airbus Safran Launchers, élu municipal et communautaire à Veynes (Dauphiné Libéré du vendredi 19 juin). S'il fait Paris-Tallard en jet privé, il est normal qu'il ignore les difficultés réelles pour les entreprises, les habitants et les touristes !

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La pente en suspens au-dessus du lac et du tunnel (photo 1) descend à raison de 10 cm par jour, laissant présager une chute à plus ou moins long terme. Celle-ci pourrait provoquer de nouveaux désordres sur la voûte du tunnel.
Dans la foulée le Collectif du Chambon demande l'ouverture d'urgence des vannes du barrage pour prévenir tout risque en aval.

La construction d'une route à voie unique sur la rive gauche (photo 2) a été actée et le budget votée par le Conseil départemental de l'Isère pour un coût d'environ 5 millions euros, en parallèle à la réparation du tunnel.

On pourrait à nouveau saisir l'opportunité de l'éventuelle vidange du lac pour construire à moindre frais une piste en fond de vallée comme solution intermédiaire.

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En deux jours (12 et 13 juin), la route aura été coupée deux fois au niveau du Rif Blanc. La première fois, la circulation avait pu être maintenue par la galerie, mais pas la seconde fois où la galerie a été inondée. Néanmoins, l'interruption a été brève. [...]

 C'est un phénomène d'ordre décennal à cet endroit, la dernière occurrence remonte à juin 2008. Cela ne doit pas être suffisant pour que des travaux sérieux soient entrepris, compte tenu de la présence de la galerie.

Photos Dauphiné Libéré et Vallouimages

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Une délégation conduite par le maire de Briançon, laissant de côté le député, la sénatrice, les conseillers départementaux du canton, mais réunissant le président du conseil départemental 05, son responsable des routes et une représentante du Collectif du Chambon s’est rendu au ministère des transports. ...

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À l'occasion de la 29e Fête du peuple provençal à Tallard, l’Unioun Prouvençalo aborde le sujet de l'acronyme « Paca », ce qui a conduit l'e-media 05 à poser la question : « Pour bannir l’acronyme Paca, faut-il donner à la région le nom de Provence ? »

La réponse est ici.

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La société Thermalu, spécialisée dans les solutions de chauffage et de déneigement, créée en 1989, a été reprise par trois de ses salariés et fonctionne en société coopérative de production (Scop) depuis le 28 mars 2015. Tous nos vœux de succès aux repreneurs.

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L’hiver 2014-2015 a vu une baisse de la fréquentation sur l’ensemble des massifs français (-4%), et les Alpes du Sud sont les plus touchées avec une baisse de 8% du nombre de journées-skieurs par rapport à l’hiver précédent et de 11% sur quatre ans.

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Face à l'absence d'avancée dans la réalisation d'une déviation de la RN 94, une association Déviation-LRDR vient de se créer afin de secouer le cocotier.

« L'objet de l'association est d'obtenir une déviation totale du village. Le tracé envisagé pour la déviation ira, au moins, des environs de l'ancienne gare (au sud) jusqu'aux environs du lieu-dit Pont de Rame (au nord). L'association appuiera tout projet dont le tracé sera situé à l'ouest de l'actuelle voie ferrée. L'association n'acceptera pas la solution alternative qui consisterait à aménager la traversée actuelle du village. »

Site internet de l'association

Vallouimages apporte tout son soutien à l'association.

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François Carrel, correspondant du journal Libération à Grenoble, et ami de Vallouimages, a mis la Vallouise et la Clarée à l'honneur dans un article intitulé : « Vallées perdues au cœur des Alpes ». Sans trop entrer dans les détails il en vante les atouts qui valent le détour en montagne comme en vallées.

Article complet

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La coupure de la route entre La Grave et Le Bourg-d’Oisans pourrait avoir un effet inattendu. En effet, les difficultés qu'elle a provoquées ont rapproché les Gravarots et les Faranchins, les habitants des communes de La Grave et de Villar-d’Arêne, au point que le maire de la seconde a lancé l’idée de leur fusion en une nouvelle commune renommée « Les Arênes » (en prenant la graphie officielle actuelle). Il explique ainsi aux habitants : « Nous espérons que cette initiative de rapprochement des communes de notre territoire vous permette de vous exprimer et de participer au développement de cette belle vallée où il ne peut que faire bon vivre. » C’est intéressant et assez logique.

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Vallouise - Cirque des Bans

Sept réflexions à propos de la fermeture de la route Grenoble-Briançon au Grand Tunnel du Chambon. Ici.

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La réouverture de la route Grenoble-Briançon est repoussée au 10 juillet, avec les précautions d'usage compte tenu de l'ampleur des travaux. On pourra s'attendre à une chaussée rétrécie, s'il faut glisser une voûte de 50 cm d'épaisseur.

Dans le même temps, un itinéraire alternatif devrait être réalisé sur l'autre rive du lac.

La course de la Marmotte le 4 juillet est compromise sur son parcours classique et beaucoup doivent commencer à s'inquiéter pour le passage du Tour de France le 25 juillet.

Pour ceux qui viennent du sud ou d'Italie, la Grave et Villar-d'Arêne sont toujours accessibles par le Col du Lautaret (qui n'a jamais été fermé). Allons-y !

Pour ceux qui viennent du nord, il faut passer soit par la route Napoléon et Gap, soit, mieux et plus rapide, mais plus cher, par la Maurienne et le tunnel du Fréjus, en attendant l'ouverture prochaine du Col du Galibier. Il n'y a pas de raison de ne pas y aller !

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Les assises du tourisme en juin 2014 avaient été organisées en réaction à la baisse de fréquentation de 10 % en 10 ans. Il en était ressorti une stratégie et une nouvelle organisation, l'Agence départementale de développement Économique et touristique des Hautes-Alpes (ADDET 05) créée le 1er Janvier dernier, une structure unique pour un seul objectif : renforcer l’attractivité des Hautes-Alpes.

Pour participer au développement touristique, les Hauts-Alpins sont invités à devenir des ambassadeurs de leur département en participant à l'opération Myhautesalpes.

Vendre la destination à l'extérieur est important, mais la vendre aussi à l'intérieur, auprès des habitants, l'est encore plus pour qu'ils en deviennent des ambassadeurs.

Évidemment avec Myhautesalpes, la communication touristique, en mal d'innovation, ne peut s'empêcher de se prendre les pieds dans le tapis de la manie des anglicismes. Meshautesalpes n'aurait pas eu moins d'allure, tous les Hauts-Alpins s'y seraient reconnus et un slogan en français aurait permis de se démarquer de la communication passe-partout dominante.
Mais, c'est peut-être plus fin qu'il n'y paraît, car localement on comprend plutôt Maïhautesalpes, qui se traduit par « Encore plus Hautes-Alpes ». Le pseudo-anglicisme ne serait alors qu’un occitanisme mal compris ! Bravo, mais c'est du troisième degré.

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La société Extruflex, peu connue du grand public, est un leader mondial dans son domaine d'activités : la fabrication de plaques, feuilles, tubes et profilés en matières plastiques (code NAF 22.21Z). C'est l'une des dernières entreprises encore implantées sur la zone du Planet. À l'avant-garde dans le domaine de l'extrusion de PVC souple, elle y fabrique des lanières et des panneaux de différentes tailles et propriétés, qui seront utilisés pour réaliser des portes de séparation d’ateliers, d’entrepôts réfrigérés en lanières de PVC souple, etc. 

L'extrusion de PVC souple fait partie des activités dérivées de celles de Pechiney depuis le début des années 1960. La société actuelle remonte à 2002. Son siège est à Levallois-Perret, elle possède deux sites de production, l'un en Chine et l'autre à la Roche-de-Rame où travaillent 26 à 27 personnes. La crise de 2009 a provoqué une perte de volume de 35 % en cours de récupération malgré une compétitivité accrue, sous l'impulsion de Rémy Viallis, son nouveau directeur depuis 2011. Ses atouts sont la qualité et la longévité reconnues de ses produits, par contre elle subit les contraintes de l'enclavement du nord du département qui lui impose un surcoût de transport de l'ordre de 15 %. La conclusion de Rémy Viallis est intéressante : « On peut lier tourisme et industrialisation dans les Hautes-Alpes [...] L'innovation peut conduire à des projets et à des industries novatrices. »

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Le livre L'église Saint-Étienne de Vallouise à travers les âges publié sous l'égide de l'Association de sauvegarde de l'église Saint-Étienne est en cours d'impression. Il devrait sortir en librairie aux alentours du 21 mai.

C'est un ouvrage de 308 pages, comportant 321 photos anciennes et actuelles, qui couvre tous les sujets relatifs à l'église : architecture, décors et mobilier.

Il renouvelle largement les connaissances sur cet édifice et par ricochet sur toutes les églises romanes de l'ancien archidiocèse d'Embrun.

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Après un mois d'avril chaud et sec, le mois de mai a commencé sous la pluie. Un fort flux de sud a fait remonter des masses d'air tropicales sur le massif des Écrins, sur l’Isère et sur la Savoie. Durant toute la journée du vendredi 1er mai des pluies "chaudes", accompagnées de sable, ont provoqué le lessivage de la neige et sa fonte anticipée. L’isotherme 0°C étant voisin de 3500 m, la limite pluie/neige est remontée à plus de 2500 m, par moment jusqu'à 2800/3000 m en cours d'épisode. La conjonction de fortes pluies (jusqu'à 60 mm sur les Écrins) et d’une importante fonte des neiges a entrainé la montée des eaux dans les torrents. Au-dessus de 3000 m, les épaisseurs de neige ont été de l'ordre de 60 cm sur les Écrins (diagramme ci-contre).

Du dimanche 3 au lundi 4 au matin, avec une isotherme 0°C à 3500 m, ,la limite pluie/neige s'est élevée de 3000 à 3200 m environ avec 10 à 15 cm de neige sur les Écrins.

Et encore, le massif des Écrins est resté en bordure du courant perturbé, qui a surtout frappé la Savoie et la Haute-Savoie où les cumuls de précipitation ont atteint les 120 mm provoquant de gros dégâts et des inondations (précipitations sur 24 heures, le 1er mai).

Du lundi 4 au mardi 5, le flux de sud-ouest a été accompagné de fort vent d'ouest à sud-ouest avec des rafales à 120 km/h dans la nuit de lundi à mardi (diagramme ci-dessus). Les températures au-dessus de 3000 m sont devenues largement positives (+8°C) et ont vite fait disparaître la neige tombée en altitudes (diagrammes ci-dessus). Elles devraient continuer à progresser en fin de semaine et début de la suivante.

Le bilan pour l'enneigement en altitude est rude car la neige a beaucoup fondu et le temps chaud annoncé ne va pas arranger les choses, car l'enneigement est faible pour la saison : en-dessous de 2800 m, la neige est pourrie ; entre 2800 et 3200 m elle est humide et lourde ; elle n'est plus légère qu'au-dessus de 3200 à 3400 m.

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La Vallouise - Lendemain de mauvais temps

Les lois Alur et Grenelle vont obliger les communes et les intercommunalités à procéder à de nombreuses modifications concernant l’urbanisme. Elles vont devoir se doter d'un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) et de plans locaux d'urbanisme (PLU). Le Pays des Écrins va devoir entreprendre la démarche. Autant qu'il travaille dans le bon ordre, en commençant par le document d'ordre supérieur, le SCoT qui est l’outil de conception et de mise en œuvre d’une planification intercommunale. Le PLUi, en tant que projet global d’urbanisme et d’aménagement, devra en découler, et ensuite les PLU communaux. Sachant que la charte du PNE, signée par plusieurs communes, est opposable au SCoT et qu'il devra y avoir cohérence avec les communautés de communes voisines, notamment avec la communauté de communes du Briançonnais déjà engagé dans l'établissement de son SCoT.

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La maison du Château vient d'être restaurée par la communauté de communes du Pays des Écrins. Elle hébergera Luceo, un pôle d'initiatives économiques dédié aux entreprises.

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Un violent séisme de magnitude 7,9 est survenu dans la région de Katmandou le 25 avril 2015. Les dégâts sont considérables, les victimes se comptent par milliers, plusieurs villages ont été isolés, des avalanches meurtrières se sont produites en altitude, notamment au camp de base de l'Everest.

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Le faible enneigement et le temps chaud d'avril ont permis d'avancer le dégagement de la route jusqu'au Pré de madame Carle. La route a été ouverte le vendredi 24 avril. Le refuge est également ouvert et les marmottes sont déjà de sortie.

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Les tarifs des redevances ski de fond vont fortement augmenter la prochaine saison : +58% pour le forfait 'saison', mais sans oser dire qu'elle pourrait atteindre +70% pour le forfait 'journée'. Il semblerait que le ski de fond joue sa survie. Ça passe ou ça casse... mais quand on lit un raisonnement aussi stupide que celui-ci, on peut s’inquiéter : « Pour stopper ces déficits, il faut soit augmenter le nombre de clients soit augmenter les tarifs. »
Et après le CD05 va encore s'étonner de la baisse du nombre de touristes dans les Hautes-Alpes. Il arrive aussi aux skieurs de fond d'acheter du matériel dans les magasins locaux, de faire leurs courses dans les commerces locaux, de se loger dans les hébergements locaux, de se nourrir dans les restaurants locaux, d'acheter aux artisans et agriculteurs locaux, bref de participer à l'économie locale. Il faudrait peut-être réfléchir un peu plus loin que le bout de son nez !

la problématique du financement des activités touristiques dépasse la compétence des responsables des dites activités. Ce doit être une stratégie globale au niveau des collectivités concernées. On voit apparaître deux conceptions antagonistes : l'une que les activités pratiquées par les résidents devraient être financées par les touristes (c'est l'approche de Nordic Alpes du Sud avec les forfaits primeurs principalement destinés aux résidents alors que les touristes paieraient le prix fort) ; l'autre que les activités pratiquées par les touristes seraient financées au moins en partie par des aides publiques (ce qui n'est pas illogique dans une approche globale).

On voit bien que des approches parcellaires ne sont pas adaptées et qu'il faut une stratégie globale au niveau du département, donc de l'ADDET.

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L’esprit communautaire est mort. Le dernier conseil communautaire a confirmé ce que l’on ressent depuis quelques temps : la communauté de communes n’a pas de projet, l’esprit communautaire a éclaté en autant de particularismes (ou presque) que de communes et les antagonismes entre les personnes s’amplifient. On ne va pas mesurer les implications des uns et des autres : c’est un fiasco global qui concerne tous les élus. [...] Nos élus doivent impérativement se ressaisir et travailler à un projet commun qui dépasse les clivages entre communes ou vallées.

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Une nouvelle secousse de magnitude 2,7 a été ressentie le 17 avril à 6 h 47 toujours au même endroit.

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La coupure prolongée de la RD 1091 au Chambon a déjà et va avoir des impacts lourds pour les habitants et pour l’économie locale, d’autant plus si elle se prolonge. On avance aujourd’hui la date du 15 juin au plus tôt. Article complet.

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Le bulletin municipal n°26 du printemps 2015 vient de paraître. Parmi les informations, on retiendra surtout le regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre les communes de Pelvoux et de Vallouise, approuvé par les deux communes. Parmi les projets d'investissements, on notera l'aire de jeux de la Casse, la poursuite du réaménagement du cimetière, la piste de ski depuis PSV, la création d'une voie communale à Pra Peyron, des travaux de protection du Rif Paulin, etc.

Par ailleurs, comme annoncé en janvier, la mairie s'est dotée d'un site internet. Il reprend le format de celui de l'Office de tourisme mais avec un contenu orienté informations administratives, démarches, actualités et vie de la commune.

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« Un peu de sciences en Vallouise : le réchauffement climatique »

Conférences, randonnées, ateliers, expositions, projections.

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3e édition des journées culturelles de Vallouise organisées autour du thème d'Ariane, illustré par la pièce d'un auteur contemporain bien connu en Vallouise, Maurice Pergnier.

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14e Festival du livre et de l'image de montagne sur le thème  « Les Vaudois, hérétiques montagnards », à l'occasion du 800e anniversaire de leur condamnation au concile de Latran en 1215.
Salon du livre : exposants locaux, régionaux et nationaux. 8e Prix littéraire des Écrins René Desmaison. 

Avenue du Quartz - 05120 L'Argentière-la-Bessée.

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Trois secousses sismiques ont eu lieu le 11 avril en moins de vingt minutes (à 7h30, 7h33 et 7h48), de magnitudes respectives 3,4, 2,8 et 2,4, dans le communiqué du réseau Sismalp :
« Le réseau de surveillance sismique de l'observatoire de Grenoble (réseau Sismalp) a enregistré le samedi 11 avril 2015 à 7 h 33 min (heure locale) un séisme de magnitude 3,4, avec un épicentre situé dans le massif du Parpaillon entre La Condamine (Alpes-de-Haute-Provence) et Crévoux (Hautes-Alpes). Le foyer était situé vers 10 km de profondeur. Ce séisme a été précédé, deux minutes avant, par une secousse de magnitude 2,8 » et suivi d'un autre de magnitude 2,4, 15 minutes plus tard. Un séisme de magnitude 2,8 avait également été enregistré le 2 avril 2015 toujours dans le même secteur.
« Il s'agit de nouveaux séismes appartenant à la crise en essaim apparue à cet endroit en février 2012 et réactivée par le séisme de magnitude 4,8 du 7 avril 2014. Dans cette longue série de plus de 13 000 secousses, la magnitude 3,4 de ce matin est la plus forte valeur observée depuis le 14 juillet 2014 (3,5). »

« Ces séismes sont dus au jeu répété de très nombreuses failles orientées NW-SE et situées entre 5 et 10 km de profondeur, qui fonctionnement essentiellement en extension (affaissement d'un compartiment tectonique), avec parfois un petit coulissage horizontal. »
« Le séisme de magnitude 3,4 de ce matin a été ressenti dans le secteur de l'Embrunais, du Guillestrois et de la haute vallée de l'Ubaye, vraisemblablement sans faire de dégâts. » Il a également été ressenti à Vallouise.

Deux répliques ont déjà eu lieu le même jour : une de 2,4 à 9 h 48 et une autre de 2,0 à 14 h 47 toujours au même endroit, ou presque.

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Des chutes de pierre et l'élargissement de profondes fissures sur la voûte du Grand Tunnel du Chambon ont provoqué la fermeture de la route RD 1091 entre Briançon et Grenoble pour une durée indéterminée à compter du vendredi 10 avril à 14 h 45. Deux solutions pour palier à cette fermeture : soit passer par Gap, Corps et la Mure, soit passer par le tunnel du Fréjus (péage).
Depuis Grenoble, on peut accéder aux Deux-Alpes et à Mizoën ; depuis Briançon, on peut accéder à la Grave. Pensée pour les Gravarots et les Faranchins qui travaillent au Bourg-d'Oisans, dans les stations ou à Grenoble.

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Le 22e festival Musiques en Écrins se déroulera du jeudi 23 juillet au lundi 17 août. Il comportera dix concerts distribués dans les différents villages de la Vallouise, plus une randonnée musicale le vendredi 7 août en cours de repérage. L'Orchestre de chambre de la nouvelle Europe qui avait triomphé en 2014 revient pour un concert tout aussi exceptionnel le dimanche 9 août.

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Le dernier conseil municipal de Vallouise a approuvé le projet de convention entre la communauté de communes et les communes intéressées, l'Argentière, Vallouise et les Vigneaux concernant la répartition des redevances espérées de la vente des bouteilles. Les pourcentages adoptés sont les suivants : Vallouise, 75 % ; les Vigneaux, 5 % ; l'Argentière, 3 % ; communauté de communes, 17 %.

La question de « la vente du poisson avant de l'avoir pêché » étant réglée (sous réserve d'approbation par les autres collectivités), se pose maintenant la question autrement plus importante de « qui du pêcheur ou du propriétaire du bateau a la compétence pour vendre le poisson ». Et là, on n'est peut-être pas au bout des difficultés.

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L'avalanche du Col Émile Pic (3 morts, un blessé encore dans le coma) et la chute dans le Dévoluy (2 morts), survenues toutes deux le mercredi 1er avril, portent à 25 le nombre de morts cet hiver dans les Hautes-Alpes.

L’emballement médiatique qui a suivi a provoqué des déclarations et des réactions excessives de part et d’autre (élus et guides). Les alpinistes et les guides de la région n'ont pas apprécié, mais alors pas du tout, les déclarations des élus censés les représenter et les défendre.

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Saluons l’élection de Jean-Marie Bernard à la présidence du conseil départemental et de ses neuf vice-présidents, dont les Briançonnaises Marie-Noëlle Disdier (4e VP) et Marine Michel (9e VP).

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À moitié « poisson d’avril » seulement, car tout le 1er paragraphe correspond à des faits réels. La proposition de liaison par câbles (télécabines ou télésièges) a effectivement été très sérieusement avancée à Vallouise par un binôme candidat aux dernières élections départementales. Les autre paragraphes reprennent sous forme caricaturale des éléments réels provenant de projets en cours, telles « la vente du poisson avant de l'avoir pêché » ou « qui du pêcheur ou du propriétaire du bateau a la compétence pour vendre le poisson ».

Alors, future « affaire des Écrins » ? Probablement pas tant le projet est irréaliste. Mais il est une nouvelle fois symptomatique de la conception du développement dont la « durabilité » ne s'apprécie qu'à travers du béton, des pylônes et des câbles, au risque de détruire les atouts touristiques de la région.

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Un groupe de skieurs autrichiens encadré par deux guides a été emporté par une avalanche sous le Col Émile Pic (3463 m). Le bilan est lourd : trois morts, pronostic vital engagé pour une quatrième personne. De gros moyens ont été engagés par le secours en montagne qui avait installé un PC à la maison du Parc à Vallouise. Les sept rescapés vont passer la nuit au refuge des Écrins.

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L’idée d’un transport par câble (en clair télécabines ou/et télésièges) entre la gare de l’Argentière et Pelvoux avait déjà été avancée dans le dossier de pré-sélection à la pré-candidature à la candidature aux JO de 2018. Elle vient de resurgir, entre Pelvoux et le Pré de Madame Carle cette fois. Un des binômes candidats aux dernières élections en avait parlé lors de sa réunion publique à Vallouise.

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